Acte 1 : I am not a subculture,
rather a gallery of self-portraits with a history walking in circles. Chorégraphie : Robyn Orlin Interprète : James Carlès Vidéo : Pierre Sasso Lumières et régie : Arnaud Schulz
Acte 2 : On va gâter le coin ! Chorégraphie : James Carlès Assistante : Tiphaine Jahier Interprètes : Brissy Akezizi, Clément
Assémian, Gahé Bama, Frank Serikpa, Stéphane
Mbella Vidéo : Charles Rostan Musique : Charles Rostan, James Carlès Lumières et régie : Arnaud Schulz
Durée : 1h20 Tarifs : 5€ / 3€
Robyn Orlin (Afrique
du Sud)
& James Carlès
Le coupé-décalé se joue de la technique, des
esthétiques, des codes habituels. Ce qui compte, c'est le
style. Et dans ce domaine, tout est permis. La timidité ou
la discrétion n'ont plus lieu d'être, l'important est
de se montrer et surtout, de se faire remarquer. Pour atteindre
cet objectif, la fin justifie souvent les moyens. Apparu dans le
monde de la nuit parisienne des années 2000, popularisé
par des groupes comme Magic System, le coupé-décalé
prend le contre-pied du dandysme occidental. Le pouvoir appartient
à celui qui ose, la frime devient un art à part entière.
À la fois courant musical, type de danse, mode vestimentaire,
le phénomène ne cesse de s'étendre à
travers le monde. Il arrive jusqu'à Brasles par l'intermédiaire
de James Carlès et Robyn Orlin qui revisitent et confrontent
en deux actes, la danse de rue et de la nuit qui s'invente aujourd'hui
en Afrique comme ailleurs. Avec panache, leur vision du coupé-décalé
va vous étonner !